Faut-il encore faire confiance aux banques pour stocker son or ?

1. Ce que les banques vous proposent (et ce qu’elles vous cachent)

Un coffre à la banque ?
Sur le papier : pratique, discret, sécurisé.

En réalité :

  • Pas d’assurance automatique (ou plafonnée)
  • Aucune déclaration du contenu
  • Aucune traçabilité du lingot (origine, certificat…)
  • En cas de décès, saisie, contrôle fiscal ou blocage judiciaire → vous êtes exposé

Vous stockez dans un espace fermé… dans un système surveillé. Rien de plus.

2. Ce que les grandes fortunes font vraiment

Elles stockent :

  • En zone franche (Genève, Zurich, Singapour)
  • Dans des entrepôts sous douane
  • Avec assurance totale
  • Hors système bancaire, pour rester hors radar sans être hors-la-loi

Pourquoi ? Parce que la banque est utile pour gérer de l’argent.
Pas pour conserver des actifs non financiers comme l’or physique.

3. Les 3 risques majeurs du stockage en banque

  1. Risque d’opacité : personne ne certifie ce qu’il y a dans votre coffre → problématique en cas de succession ou de litige
  2. Risque de saisie indirecte : gel judiciaire, succession bloquée, etc.
  3. Risque fiscal : l’administration peut vous demander d’en justifier l’origine sans documentation solide

4. Comment Maison Goldstein structure le stockage autrement

Notre modèle repose sur :

  • Un stockage hors banque, dans des entrepôts douaniers agréés
  • Une traçabilité complète (certificats, numéros, scellés)
  • Une assurance à 100 % (valeur de remplacement)
  • Une liquidité maîtrisée (revente simple, conditions connues)

Nous opérons une chaîne de détention complète, pensée pour la mobilité, la clarté et la sécurité.

Vous cherchez un cadre de stockage structuré, professionnel, assurable et conforme ?
Maison Goldstein vous transmet son mémo confidentiel sur demande.

Les informations présentées sur cette page ne constituent ni une offre au public, ni une recommandation personnalisée, ni une incitation à investir. L’accès au capital de Maison Goldstein est réservé à des investisseurs avertis ou professionnels, dans le cadre d’un échange privé. Toute décision d’investissement doit être prise en consultant un conseil juridique et fiscal indépendant. L’éligibilité au 150-0 B ter dépend de la situation individuelle de chaque investisseur et de l’interprétation du cadre fiscal en vigueur.

Photo : Romain Virtuel

Category
News
Insights
Written by
Louis Debouzy
Paris