Pourquoi les ex-fondateurs choisissent l’or physique après leur exit

1. Post-exit : entre euphorie et paralysie
Vendre son entreprise, c’est gagner sa liberté.
Mais c’est aussi devoir choisir une nouvelle façon de structurer son patrimoine.
Et souvent, les solutions proposées sont :
- Complexes (fonds lockés 7 ans, aux rendements incertains)
- Illiquides (private equity, immobilier en club deal)
2. Pourquoi l’or physique revient dans le viseur
Parce que c’est :
- Tangible (pas un produit financier abstrait)
- Liquide (vendable en 48h, partout dans le monde)
- Hors système bancaire (non corrélé aux marchés)
- Stockable en zone neutre (ex : Genève, zone franche)
Et surtout : parce que ça ne ment pas.
3. Ce que disent les ex-fondateurs qu’on accompagne
Ils nous disent :
“Je veux quelque chose de simple et lisible".
"Je veux une solution rassurante, sécurisée et liquide, pas un fonds où je suis bloqué 7 ans et avec lequel je vais, peut-être, faire 8% brut".
L’or physique ne génère pas de cash-flow. Mais il offre ce que beaucoup ont perdu pendant qu’ils créaient leur boîte : de la maîtrise et de la réassurance.
4. Pourquoi Maison Goldstein attire ce profil d’investisseur
Nous sommes une société de négoce, avec :
- Une activité réelle
- Des stocks réels
- Un fonctionnement maîtrisé
- Une logique exclusive
Et parce que nous avons nous-mêmes été fondateurs, exiters (avec la difficulté du remploi de notre 150-0 B ter).
Conclusion
Après un exit, vous n’avez pas besoin d’un nouveau produit.
Vous avez besoin d’un actif simple, lisible, sans friction, et d’un partenaire qui ne cherche pas à vous vendre un schéma.
L’or physique n’est pas la solution à tout. Mais c’est une base solide.
Si vous souhaitez accéder à notre fonctionnement, nos conditions et notre thèse patrimoniale, nous transmettons un mémo confidentiel sur demande.
Les informations présentées sur cette page ne constituent ni une offre au public, ni une recommandation personnalisée, ni une incitation à investir. L’accès au capital de Maison Goldstein est réservé à des investisseurs avertis ou professionnels, dans le cadre d’un échange privé. Toute décision d’investissement doit être prise en consultant un conseil juridique et fiscal indépendant. L’éligibilité au 150-0 B ter dépend de la situation individuelle de chaque investisseur et de l’interprétation du cadre fiscal en vigueur.
Photo : David Jorre